Bonduelle franchit un nouveau pas
Après avoir signé un accord avec les producteurs des Hauts-de-France, le Groupe Bonduelle poursuit encore et toujours sa démarche de soutien à la filière légumes et vient de signer un accord de revalorisation des prix avec son partenaire Euralis Coop pour les producteurs de légumes verts du Sud-Ouest.
En adéquation avec la loi Egalim, cet accord s’inscrit pleinement dans la stratégie du Groupe Bonduelle, qui entend renforcer son ambition d’entreprise à impact positif. Il réaffirme la volonté de l’entreprise d’accompagner ses partenaires agricoles, en améliorant le revenu à l’hectare et en accélérant la transition agro-écologique, qui leur demande des investissements humains et financiers très forts.
Déjà fortement affectés par les aléas climatiques, qui impactent négativement les rendements agricoles, les producteurs ont plus que jamais besoin du soutien de tous pour continuer à cultiver des légumes locaux, sains et de qualité, demandés par les consommateurs.
Un même objectif : pérenniser une filière d’excellence
Avec la signature de ces deux accords, Bonduelle s’engage pour le maintien d’une filière légumes française de qualité. Un maintien qui ne pourra se faire sans tenir compte des problématiques et contraintes rencontrées par ceux qui cultivent les légumes.
Pour rappel, ces accords ont pour objectifs de revaloriser le revenu à l’hectare et de poursuivre la transition agro-écologique à travers le déploiement de méthodes culturales alternatives.
Le groupe Bonduelle poursuit ainsi sa démarche et souhaite mobiliser l’ensemble de ses partenaires distributeurs à ses côtés pour permettre aux producteurs d’obtenir une juste rémunération de leur travail et aux consommateurs d’avoir accès à des légumes de grande qualité.
Pour continuer de produire, il faut que les cultures soient rémunératrices
Les contraintes auxquelles font face les agriculteurs se multiplient. Ils sont en première ligne pour apporter des réponses aux enjeux majeurs liés à l’environnement, l’alimentation et la santé. D’un côté la transition agro-écologique qu’ils ont engagée nécessite des investissements et augmente les contraintes, de l’autre les aléas climatiques de plus en plus fréquents pèsent lourdement sur les rendements et donc leurs revenus. La valorisation actuelle des légumes n’est pas alignée avec les coûts engendrés, tant en termes d’investissements que de baisses de rendements. Les agriculteurs ne se satisfont pas d’une rémunération en décalage avec les engagements qu’on exige d’eux sur le long terme.
La crise sanitaire de cette année a mis en exergue l’importance des filières locales et particulièrement pour l’alimentation. La souveraineté alimentaire passera par une juste rémunération de ces filières pour les rendre pérennes et durables, et éloigner le risque de pénurie de légumes.
